"Parcours Croisés" - Suite - Chapitre 26
Parcours croisés Jeudi
Chapitre 26
Annie
Ce matin je suis rentrée à la maison chercher mon bouquin et mes lunettes et jen ai profité pour écouter les messages sur mon portable. Marc a laissé des messages. 17h23 : « tes pas là, je rappellerai » ; ben non mon grand, je ne suis pas là
mais tinquiète, ça baigne
je faisais quoi, à ctheure-là
18h51 : « cest encore moi
quest-ce que tu fous ?
bon, à ce soir
» ; eh non, ce soir non plus
tas pas de bol, la madame elle séclate ailleurs
19h38 : «
» ; pour le coup, il sait plus quoi dire, scotché le Marco, ta femme se prépare à découcher, ça ten bouche un coin, hein ? Bon, elle ne savait pas encore, mais elle y pensait ! 21h27 : « alllo ? Je ne sais pas ce que tu fous
tas encore paumé ton portable
si tu le retrouves, je rentre vendredi midi, sans doute, je te rappelle, bye bye » ; vendredi midi ! Tu peux même décaler, et y passer ta semaine, ça marrangerait, rentre pas Marco, rentre pas !
Jallais partir quand jai vu la petite lumière rouge sur le fixe : encore un message ! Tes inquiet Marco ? Tu veux vraiment savoir où je suis ? (voix électronique) « MARDI : 18 heures 52 » : « Marco, cest Patrick, tas oublié de poser les documents de fret dans la boîte, jen ai besoin
ton portable est en rade
passe avant demain midi, je serais au bureau, à plus » ; cest quoi cette blague
comprends pas
« MERCREDI 11 heures 12 » : « Cest Patrick, jai besoin des documents Marco ! Rappelle-moi ! » Et plus de messages
y me joue quoi là le Marco
il rentre et il dit rien ? Mardi soir, je faisais quoi mardi soir
on a fait les courses avec Alain, Martina est passée
il nest pas passé
il joue à quoi cette andouille
Jai appelé Patrick, son patron
il était bien embêté quand il a compris que je ne savais pas où était Marco, blanc sur la ligne et il en bégayait
bien louche tout ça
et il sest confondu en excuses, il est désolé Patrick
Jai raccroché.
Jétais à peine revenue que Véro a voulu visiter mon armoire aux trésors
elles ont été surprises, je crois
et
à voir la tête de Martina quand elle a découvert létagère du bas
un jour peut-être, je louvrirai à nouveau pour elle
pour nous deux ! En attendant je lui ai « prêté » mon second bijou
et elle ne la pas vu
seule Véro la vu
pas mal plus gros que le premier
et depuis quand elle bouge, on dirait quil lui vient des bouffées de chaleur ; et elle ose plus sasseoir : Véro était morte de rire, toute à lheure
Et puis les garçons sont rentrés du tennis
le copain dAlain
waouh ! Je suis bien contente davoir décidé de lire et pas de bronzer avec Véro et Martina, ça maurait embêtée quils me trouvent dans la même tenue
plutôt qu « il » me voit, parce quaprès tout, Alain, depuis cette nuit
Alain a grillé des côtelettes dagneau quon a mangé avec les doigts, sur la terrasse ; jai repris mon livre, mais mes yeux se fermaient tous seuls, la nuit avait été trop courte et une sieste aurait été la bienvenue. Véro dormait déjà sur un lit-piscine quelle avait tiré à lombre de lérable, sur la pelouse.
Souvent quand je levais la tête de mon livre, Jérémy détournait très vite les yeux et reprenait sa conversation avec Alain et Martina
un petit jeu, beau jeune-homme ?
quest-ce que tu penses de mes cuisses ?
Martina ma adressé une petite moue entendue en levant le pouce
toujours un il qui traîne Martina
restait plus quà surveiller leffet, qui ne sest pas fait attendre : il avait beaucoup de mal à suivre la conversation et répondait à côté. Martina a fait un clin dil à Alain en me désignant dun signe de tête
il a complètement changé de conversation et sest mis à raconter une histoire débile sans queue ni tête, et Jérémy continuait à meubler les silences de « oui, oui
», trop absorbé par les mouvements déventail de mes cuisses sous le paréo qui baillait pour sintéresser à Alain.
Martina a mis fin au jeu en minvitant à laider à préparer les cafés. Elle na réussi à retenir son fou-rire jusquà la cuisine que dextrême justesse, et ses éclats redoublaient dautant plus que je mefforçais au plus grand sérieux, et prenait lair innocent et étonné :
- Fais gaffe avec Jérémy
- Pourquoi ?
- Ça fait plus de trois mois quil a viré sa dernière conquête
- Ah ? Et
pourquoi tu me dis ça ?
- Si tu continues, il va te sauter dessus sans te demander ton avis !
- Au lieu dun café, amène-lui donc un pichet deau glacée !
- Allez, sois sympa, cache ta petite chatte !
- Je croyais montrer mes cuisses !
- Ben de ma place, cétait beaucoup mieux que ça !
- Ah ! Je me disais bien aussi quil était très rouge
Véro est venue prendre son café avec nous, a pris un nouveau cachet daspirine, et a dit au revoir de la main à tout le monde en partant finir sa sieste au frais dans la chambre damis. En partant ranger les tasses, Martina ma fait signe de la suivre en sadressant aux garçons :
- On vous laisse la terrasse, nous deux aussi on se met au frais
Véro tirait les volets pour plonger la chambre damis dans la pénombre, et Martina est allée en faire autant dans sa chambre dont la porte faisait face. Je me suis assise sur le lit de Véro :
- Toujours mal à la tête ?
Elle sest assise et sest laissé tomber en travers du lit, un bras sur les yeux :
- Jai vraiment abusé hier soir ; je crois que cest les morceaux dananas qui mont eue, cétait tellement bon
Martina sest allongée près delle, appuyée sur un coude, lui a passé la main sur le front :
- Jaurais dû te taper sur les doigts quand tu trempais la main dans le bocal de punch, je te voyais faire, pourtant, et je sais que cest traître ; ils ont macérés une bonne heure dans le rhum !
- Tétais occupée à raconter ton histoire
Véro a pris ma main :
- En tout cas je suis super contente dêtre venue, Annie
contente de te connaître ; et tes une tellement bonne copine que la prochaine fois, cest toi qui tassiéras à côté de Jonathan
tu promets ?
- Je ne sais pas
tas lair de tellement bien tentendre avec lui
je ne voudrais pas te le voler
- Je te le prête
moi je me contente de jouer avec lui
je lui montre mes cuisses
je le regarde rougir
- Cest dangereux comme jeu
- Mais jaime bien, cest pour moi aussi
ça me fait chaud, là
en posant sa main sur son ventre :
- Cest tout moi ça ! Quand jai envie de quelque chose, je joue les saintes nitouches
au lieu de le dire, tout simplement, chuis rien quune allumeuse à deux balles
hein, Martina ? Tu sais, ça ! Tu sais que je fais pareil avec toi
- Mais oui je sais ! Et tu me plais comme ça
mais avec Jonathan
tes peut-être allée trop loin
- Je sais, à voir les traces sur mon string, il ma tripoté la chatte sans que je bouge le petit doigt
men rappelle même plus
tu te rends compte ?
- Prochaine soirée, cest daccord, je prends Jonathan à côté de moi
et je mettrai un piège à ours dans ma culotte
- Tas un truc pareil dans ton armoire ?
- Nooon !
Elle avait de plus en plus de mal à parler, à mi-chemin du sommeil.
Jai aidé Martina à mettre des draps propres sur son lit. Martina a fermé la porte, a enlevé son paréo et sest couchée au-dessus du drap, me tendant la main, a fait une petite grimace comme je la rejoignais ; jai dénoué mon paréo et elle a approuvé
- On parle mieux, toutes nues, cest ma philosophie à moi
- Même au travail ? Ça doit être curieux les tractations commerciales, avec toi !
On était allongées sur le côté, face à face, visages proches, sur le même oreiller :
- Tétais sérieuse ce matin
tu veux vraiment le quitter ? Quest-ce que tu vas faire ?
- Je trouverai bien du travail
nimporte quoi. Tu sais la maison est à moi, la voiture aussi, je men sortirai, ça minquiète pas une seconde
je comprends même pas pourquoi je lai pas fait plus tôt. En plus, ça devrait larranger
- Tu te fais des idées
les mecs aiment pas se faire jeter comme ça
- Il a une maîtresse, je suis sûre quil a une maîtresse
ce matin jai trouvé un message de son patron, il arrive pas à le joindre sur son portable, alors il a laissé un message sur le répondeur du poste fixe
il est rentré depuis mardi soir ; il a oublié de laisser des papiers et son boss en a besoin
mardi soir
et à moi il me raconte quil est bloqué en Allemagne
je men doutais pas vraiment, mais ça fait un moment que
je lui tourne le dos
enfin
- Alain, il aime bien, que je lui tourne le dos
- Tes bête, je te parle pas de ça
et puis je naime pas ça
- Sûre ? Taime pas ? Je tinitierai
- On verra
avec Marco en tout cas cest calme plat depuis longtemps
plus envie
- Et ça ne te manque pas, à toi ?
- Je me débrouille
toute seule
ce nest pas toujours drôle, mais bon !
- Tavais lair daimer avec Alain
- Cétait TRES bon, et avec toi aussi, cest TRES bon
- Tu vas lui annoncer ça comment ? Que tes au courant et tu le vires ? Tu sais que cest compliqué à gérer, cette situation
- Je viendrai pleurer chez toi
tu veux bien ?
- Autant que tu veux, et je te laisserai pas pleurer longtemps !
Depuis un petit moment, déjà, javais remonté ma main entre ses jambes, et je jouais de lindex, remontait le pli de laine, grattait le brillant sur sa lèvre, faisait rouler la boule à lintérieur de sa lèvre ; Tina avait replié le genou, me laissant jouer avec son petit minou.
- Si tas le moindre problème, tu sais que tu auras toujours une chambre ici !
- Merci
mais je ne crois pas que jen aurai besoin
tel que je le connais, il partira très vite
Sa respiration sétait accélérée et ses doigts devenaient plus durs sur mes seins. Je tenais son clito entre le pouce et lindex et le faisait rouler, le décalottait, le branlait de haut en bas comme un petit sexe.
- Tas déjà connu ça, toi ?
- Ce que tu me fais ? Oui
et une rupture, aussi, et ça ne sest pas trop bien passé
- Je peux continuer, alors ?
- Si tu tarrêtes, je tétrangle
- Tu fais ça souvent, avec dautres femmes ?
- Non
quand jétais au lycée, javais
une amie de cur
elle avait deux ans de plus que moi, jétais amoureuse delle ; et puis elle est partie et jai découvert les garçons
et puis il y cinq ou six mois, jétais seule, et jai rencontré Véro
et puis toi
pas une si grosse expérience tu vois
et puis au cas ou tu imaginerais des choses, hier soir, cétait la première fois que ça arrivait Alain, moi et une autre
et cétait toi
- Pourquoi moi ? Et
il navait pas lair surpris
- Je ne sais pas pourquoi
parce que
cest toi ! Je crois
non, je suis sûre que tu lui plais, et il sait aussi que tu me plais, et puis cest le genre de situation qui plaît à la plupart de hommes
tes quelquun à part, Annie
tout est simple avec toi
- Cest que je pense de vous
tout est simple avec vous
Je navais pas interrompu un seul instant de pincer son clito, de provoquer ses frissons en passant le doigt directement sur le bouton, de caresser la tige durcie remontant sous le capuchon de peau du bout de longle.
- Et toi ?
- Oh, tu sais moi et le sexe
un dépucelage raté, et puis Marco deux ans plus tard, sans rien entre les deux
Quand je travaillais à la compta dans un supermarché, je me suis fait draguer par une nana ; ça ma intriguée et puis jétais
en manque et curieuse
on se donnait du plaisir de temps en temps, chez elle
et ça me laisse pas un grand souvenir
et puis on a déménagé ici quand ma mère est morte
et je travaille plus, je vois personne
huit ans
tu te rends compte ? Huit ans de désert
je suis une passive
je laisse couler les choses
mais cest fini ! Je vais arrêter daffoler les petits vieux des grandes surfaces avec mes mini-jupes
- Tu fais ça ?
- Non ! Quand même pas les petits vieux
mais faire un peu dexhib
javoue
faut bien un peu de piment pour se sentir exister, non ?
Mes doigts ont glissé plus bas. Elle mouillait vraiment beaucoup. Jai introduit trois doigts, dun coup, sans marrêter, jusquà ce que mon pouce et mon petit doigt plié soient en butée :
- Je pourrais rentrer ma main toute entière tellement tes mouillée
- Tu vas me déchirer, fais pas ça
Jai retiré mes doigts de son vagin, et je mapprêtais à en faire autant à son petit trou quand mes doigts ont butés sur la pierre de verre du bijou, toujours enfoui entre ses fesses :
- Je lavais oublié, celui-là
on dirait que tu ty habitues
- Jai failli lenlever plusieurs fois, cétait
agaçant, gênant
mais je suis contente de lavoir encore
tu tapprêtais à me faire mal
- Taurais peut-être aimé ça
Jétais remontée le long de sa fente, lentement, ouvrant son sexe du plat de la main, et jai caressé son clito, un peu recroquevillé, qui sest réveillé, hampe à nouveau dure, très vite du plat des doigts. Elle a mordu loreiller et sest arquée, en appui seulement sur la nuque et les talons, fesses haut décollées du lit et puis sest écroulée avec un cri rauque étouffé par loreiller, emprisonnant ma main entre ses cuisses serrées agitées de secousses rythmant les pointes de sa jouissance. Elle était en nage, le visage et les seins couverts dune fine pellicule de transpiration et respirait difficilement, essoufflée et yeux humides. Jai embrassé le coin de son il où perlait une petite larme, pincé ses lèvres entre les miennes :
- Tu es si belle quand tu jouis
- Cest vrai quelle est belle
Jai tourné la tête et Alain sasseyait sur le lit derrière moi :
- Tes là depuis longtemps ?
- Non
moi je nai pas toujours la patience de la caresser jusque là
je suis égoïste
je prends ma part avant
- Et cest parfait aussi, mon chéri
- Alain
je sais pas comment
ce nest pas très normal
tout ça
- Quest-ce que tu veux dire ?
- Eh bien
on est là, toutes les deux
et
- Et quoi ? Ne te pose pas trop de questions, Annie
tout va bien
moi je ne men pose pas
jaime Martina
jespère que tu laimes aussi, un peu
et ça ne me pose aucun problème
Martina, dis-lui, toi
- Tu es une belle chose qui nous arrive, ça ne change rien du tout à ce quon éprouve lun pour lautre, et je taime aussi, autrement
mais je taime aussi
et je voudrais que tu maimes aussi
et puis tu vas très vite rencontrer quelquun qui te rendra heureuse, jen suis sûre
et jespère que tu nous aimeras encore
tu veux bien être ma meilleure amie ?
Alain a dû deviner que les yeux me piquaient très fort
- Et puis quoi ! Merde alors ! Tas un joli cul, alors pourquoi ne pas en profiter !
Sa main qui serrait mon épaule et le baiser quil a posé sur ma joue disait tout autre chose que ces propos volontairement crus.
- Chéri
tu sais, ce bijou dont on parle depuis hier soir ?
il faut que tu men offres un !
- Euh
ça va limiter mes possibilités, je naime pas trop ça
- Quand tu me voudras comme ça
je le rangerai
tu me le garderas au chaud
- Annie
tu es en train de la pervertir, avec tes jouets
pour la peine, quand jaurais envie de chemins détournés, cest toi que je viendrai voir !
- Pas de chance ! Elle naime pas ça, mon chéri !
-
parce quelle me connaît pas
je me ferais tout petit pour elle !
- Eh ! Cest de mon cul que vous parlez ? Jen fais ce que je veux !
- Tu vois, elle est déjà daccord !
- Hola ! Je nai pas dit ça ! Et puis lidée de Martina me plaît bien, à moi aussi ! Pourquoi ça serait toujours les filles ? On est fait pareil, après tout ! Chacun son tour ou rien du tout !
- Sil le faut
- Stop ! Stop ! Vous vous rendez compte que vous venez daccepter tous les deux de vous laisser faire ? Eh bien cest noté ! Annie, il faut que je te raconte
lundi quand je suis rentrée, ce monsieur, là, derrière toi, était sous la douche en train de
comment vous dites ?
se taper une branlette ?
oui, madame, tout seul sous la douche
- Martina
tu me trahis
cest bas
- Tais-toi ! Laisse-la finir, ça mintéresse
- Eh donc
jai assisté à la scène et jai pu constater
bon, en laidant un peu
quil nétait pas du tout insensible à
au
plaisir anal ! Oui madame ! Donc léchange tiens la route ! Vous allez expérimenter tous les deux
et toi, sache quAnnie a une armoire aux trésors qui nous permettra largement de te gâter !
- Crois-la ! Pas de problème, Alain, jai tout ce quil faut dans mon armoire secrète !
Je me suis tournée vers Alain :
- Tas intérêt à faire très attention à moi, cest moi qui choisirai lobjet !
Et puis je me suis approchée pour parler à son oreille. Martina avait évoqué quelque chose qui mexcitait terriblement, alors pourquoi se retenir, autant demander, non ? Quand jai eu terminé, je me suis recouchée contre Martina
il avait lair perplexe. Je comprenais quil hésite, ma demande était un peu
étonnante, venant de moi
Martina voulait savoir à quoi rimait ces messes basses, mais je nai pas voulu lui répondre, jattendais
et je lui avais dit que je trouverais son refus tout à fait normal
juste une envie, quil satisfaisait ou pas
Alain sest levé et a fermé à clé la porte de la chambre. Je souriais quand il est revenu se coucher à côté de moi. Martina sourcils levés, attendait.
Il a soulevé ses fesses et a fait glisser son short. Il me regardait dans les yeux
il a pris son sexe dans sa main et a commencé à se caresser
Martina sest redressée sur un coude pour le regarder et a pris un de mes seins dans sa main. Alain me regardait toujours dans les yeux et jai tenu parole, jai écarté les jambes, jai glissé mes doigts dans mon sexe trempé dun jus collant et jai commencé à me caresser, calquant mon rythme sur le sien.
Jétais déjà excitée davoir fait jouir Martina et jai craqué la première en accélérant le mouvement de mes doigts sur mon bouton en ouvrant mon sexe de lautre main. Alain suivait mon rythme de la main droite sur sa queue et plantait ses doigts de lautre main sur ma cuisse au contact de la sienne. Il a joui le premier en serrant les dents, son sperme giclant sur son ventre en longs jets épais, le gland violet de tension ; jai pris un peu de son sperme du bout de mes doigts et je me suis fait jouir en étalant son jus sur mon clito. Martina a abandonné le sein quelle avait martyrisé tout ce temps, douloureux maintenant ; elle a plongé les doigts dans mon sexe et les a tendu à Alain qui les a léchés, son sexe toujours long mais plus mou dans la main, jouant avec le prépuce ; elle a ramassé du bout des doigts un peu de sperme à la base de son sexe et avancé les doigts vers ma bouche ; jai sucé ses doigts, avalant lépais liquide tiède :
- Tas bon goût
- Toi aussi
Il a pris dautre sperme sur ses doigts, la étalé sur mes lèvres, ma embrassée, langue gourmande, et a embrassé Martina dont la cuisse tremblait contre la mienne. De mes bras dans leurs dos, je les ai attirés sur moi, noyée sous leurs bras, leurs jambes et leurs bouches dans mon cou, sur mes yeux, sur mes lèvres :
- Jai tellement de temps à rattr
mais il va falloir nous calmer, on ne peut pas tenir ce rythme très longtemps !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!